Le Roulons pour vaincre le diabète Sun Life FRDJ était de retour en personne et a connu un énorme succès!

L’un des plus importants et anciens événements de collecte de fonds au Canada revient au format en personne avec des Roulons à Montréal et à Toronto le 6 octobre et le 13 octobre respectivement, ainsi que des Roulons virtuels à travers le pays. Depuis 35 ans, le Roulons pour vaincre le diabète Sun Life FRDJ réunit des cadres et des équipes d’entreprises qui pédalent pour une guérison du diabète de type 1 (DT1).

Des participants d’entreprises canadiennes ont enfourché des dizaines de vélos stationnaires installés à deux endroits principaux du Roulons à Montréal et à Toronto, ou ont participé à l’événement virtuel de leur foyer qui a eu lieu du 6 au 13 octobre. Qu’ils aient participé en personne ou virtuellement, les Canadiennes et les Canadiens ont encore une fois eu l’occasion de montrer leur esprit de compétition afin d’amasser des fonds pour aider à financer les recherches les plus prometteuses pour des guérisons et des thérapies du DT1.

Près de 870 équipes et plus de 3 600 collecteurs de fonds de plus de 70 entreprises canadiennes d’un océan à l’autre se sont joints à nous en personne ou virtuellement. À ce jour, les participants ont amassé plus de 10 500 dons pour le programme Roulons. Nous ne saurions être plus reconnaissants pour les efforts de chacun et chacune!

Merci à SpinCo, Orangetheory, Mula Yoga et Luna Yoga. Nous leur sommes très reconnaissants pour leur temps et leur expertise, et pour avoir fourni à nos participants des séances d’entraînement de qualité qu’ils pouvaient faire à la maison.

FRDJ souhaite également rendre hommage à Peter Oliver, un homme et un partisan extraordinaire qui est malheureusement décédé à la fin septembre 2022. En 1986, peu après avoir commencé à faire du bénévolat à FRDJ après avoir reçu le diagnostic de sa fille Vanessa, alors qu’elle n’avait que six ans, il a fondé le Roulons pour vaincre le diabète FRDJ. Depuis, l’événement a permis d’amasser plus de 70 millions de dollars pour la recherche sur le diabète et de faire connaître la mission de FRDJ à des milliers de bénévoles. Il reste toujours présent dans nos pensées, et nous nous souviendrons toujours de son esprit inébranlable et de son dévouement à la recherche d’une guérison du diabète, à chaque Roulons.

FRDJ est ravie d’annoncer que plus de 1,4 million de dollars ont été amassés pour le programme Roulons de cette année afin de soutenir la recherche sur le diabète de type 1. Merci à tous ceux qui ont participé au Roulons, que ce soit en personne ou virtuellement. Ensemble, nous avons fait une différence pour les près de 300 000 Canadiens qui vivent avec le diabète de type 1. 

Nous tenons à exprimer notre sincère gratitude à notre commanditaire et à nos bénévoles, sans qui cet événement ne serait pas un succès. Grâce à leur soutien, nous avons pu offrir une journée incroyable d’exercices et de musique remplis d’énergie, mettre en lumière des histoires inspirantes par le biais de vidéos et de conférenciers, et finalement nous rapprocher de notre objectif de trouver des moyens de guérir le diabète de type 1. 

La Sun Life est fière d’appuyer le Roulons depuis 2017, et en 2019, elle est devenue le commanditaire en titre national. La Sun Life s’est engagée à soutenir les plus de 422 millions de personnes dans le monde qui vivent avec cette maladie. Merci encore à tous ceux et celles qui ont participé et à nos incroyables partenaires corporatifs.
Nous espérons tous vous revoir l’an prochain!


Adgar Canada

Broccolini

Fitzrovia

JLL Canada

Mackies Moving Systems

QuadReal

Avison Young

CBRE

ForestGroup

KingSett Capital

Michael Kors

 Banque Scotia

Bothwell Accurate

Crown Property Management

Conseillers immobiliers GWL

LaSalle

Opus Mechanical

Stewart McKelvey

Mise à jour importante concernant le teplizumab, un traitement thérapeutique qui pourrait aider à retarder l’apparition du diabète de type 1

L’un des principes clés de la stratégie de financement de la recherche de FRDJ est qu’il existe de multiples voies pour guérir le diabète de type 1 (DT1), dont l’une comprend le dépistage du risque et l’utilisation de thérapies pour retarder ou même prévenir l’apparition de la maladie, afin de donner plus de temps à la personne pour s’adapter avant d’avoir besoin d’insuline externe.

Le jeudi 6 octobre 2022, Provention Bio a annoncé qu’elle s’associerait au fabricant pharmaceutique Sanofi pour soutenir le lancement du teplizumab, s’il est approuvé pour une utilisation dans la population générale.

Que signifie ce partenariat?

FRDJ, grâce à des subventions de recherche, à des investissements du Fonds DT1 et à des activités de défense des intérêts, a accéléré la mise en place de multiples traitements potentiellement modificateurs de l’évolution de la maladie pour le DT1 qui pourraient aider à faire progresser le secteur vers cet objectif. Le dépistage est le seul moyen pour les individus de déterminer leur risque et de savoir s’ils sont candidats à de tels traitements.

L’importance du dépistage

Les Canadiens dont un membre de la famille est atteint du DT1 peuvent actuellement être dépistés via TrialNet. Des recherches ont montré que les membres de la famille des personnes atteintes du DT1 courent un risque 15 fois plus élevé de développer le DT1 que la population générale.

L’objectif de ce programme s’inscrit dans la stratégie de recherche de FRDJ qui consiste à identifier des mesures de prévention et de dépistage qui permettront de freiner la maladie avant qu’elle ne se déclare.

Un médicament biologique appelé teplizumab s’est révélé très prometteur en tant que tout premier traitement modificateur de la maladie pour le DT1. Lors d’essais cliniques menés par TrialNet et soutenus par FRDJ et d’autres bailleurs de fonds, le teplizumab a pu retarder de manière significative, pendant plus de deux ans, l’apparition du diabète de type 1 (DT1) chez les participants présentant un risque élevé de développer la maladie. C’est la première fois qu’une étude chez l’homme a démontré un retard dans l’apparition du diabète de type 1 (DT1).

Lors du suivi à long terme des participants à l’essai, l’effet du teplizumab était encore plus frappant : 50 % des personnes traitées par le teplizumab n’ont toujours pas de diabète, contre seulement 22 % de celles qui avaient reçu un traitement placebo, et le délai d’apparition du diabète était de près de 3 ans (35 mois).

De plus, les participants, aussi bien du groupe teplizumab que du groupe placebo, avaient présenté une baisse progressive du biomarqueur qui mesure la capacité de l’organisme à produire de l’insuline, le peptide C, avant l’essai. Mais l’équipe de l’étude a découvert que la production de peptide C augmentait après le traitement par le teplizumab, en particulier au cours des six premiers mois suivant le traitement. Le teplizumab pourrait potentiellement inverser la trajectoire descendante de la perte de peptide C qui existait avant l’essai.

Le médicament, actuellement développé par Provention Bio, a été soumis à la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis au début 2021 et a été le premier médicament modificateur de l’évolution de la maladie jamais soumis à l’approbation de l’organisme de réglementation pour une utilisation dans le traitement du DT1. Le 27 mai 2021, un comité consultatif de la FDA a recommandé que le teplizumab soit approuvé pour la prévention du DT1.

Cependant, le 2 juillet 2022, la FDA a envoyé une lettre de réponse complète à Provention Bio, mais le médicament n’a finalement pas été approuvé et l’entreprise a été invitée à fournir plus de données sur les problèmes concernant la fabrication avant de le soumettre à nouveau pour approbation.

Quelle est la prochaine étape?

Depuis octobre 2022, le teplizumab est de nouveau à l’étude par la FDA. La FDA a jusqu’au 17 novembre pour terminer son examen de la demande.

Dans le cadre de cet accord de promotion jumelée, Provention Bio pourra tirer profit du vaste réseau de chefs de file de l’industrie et de l’équipe de vente et de marketing de Sanofi, ce qui lui permettra de soutenir un dépistage accru et de contribuer à sensibiliser le public au teplizumab qui, s’il est approuvé, sera le tout premier traitement modificateur de la maladie pour le DT1.

Le Fonds DT1 de FRDJ a réalisé un investissement stratégique dans Provention Bio en 2017, ce qui a permis à l’entreprise de s’introduire dans le domaine du DT1 pour la première fois. Cet investissement a permis de catalyser des centaines de millions de dollars pour le développement clinique, les travaux de réglementation et la préparation du lancement qui ont conduit au partenariat avec Sanofi.

Ce partenariat démontre que l’une des plus grandes sociétés pharmaceutiques du monde soutient le potentiel de thérapies modificatrices de la maladie du DT1. De plus, si le teplizumab est approuvé par la FDA, l’accord permettra à un plus grand nombre de personnes de se renseigner sur le médicament et, idéalement, d’en bénéficier.

Le Fonds DT1 de FRDJ compte plus de 20 programmes de guérison actifs en cours de développement. Le soutien de Sanofi au teplizumab nous donne l’assurance que les grandes sociétés pharmaceutiques investiront plus facilement dans ces programmes révolutionnaires et contribueront à accélérer la mise au point de traitements de guérison.

Pour en savoir plus, consultez le communiqué de presse. FRDJ Canada continuera de surveiller les résultats de l’examen de la demande par la FDA et fournira des mises à jour quant à la date à laquelle le teplizumab pourrait être disponible pour une utilisation au Canada.

FRDJ Canada et le Réseau de cellules souches annoncent la récipiendaire de la première bourse de recherche J. Andrew McKee sur le diabète de type 1

Karoliina Tuomela est chercheuse postdoctorale au Centre d’excellence FRDJ de l’Université de la Colombie-Britannique et première récipiendaire d’une bourse J. Andrew McKee sur le diabète de type 1 (DT1), financée conjointement par FRDJ Canada et le Réseau de cellules souches (RCS) basé au Centre d’excellence FRDJ de l’Université de la Colombie-Britannique. FRDJ a eu le plaisir de communiquer avec la Dre Tuomela pour la féliciter pour sa nouvelle bourse et parler de la suite.  

Parlez-moi un peu plus de votre parcours.

« Je suis venue du Royaume-Uni au Canada, à Vancouver. J’ai fait mes études de premier cycle en sciences biomédicales à l’Université d’Aberdeen, puis j’ai déménagé à Manchester pour me lancer dans la recherche sur le cancer. Ils ont là-bas un centre de recherche sur le cancer vraiment fantastique. J’y ai fait ma maîtrise en oncologie, puis mon doctorat en recherche sur le cancer, et je me suis concentrée sur la façon dont la radiothérapie affecte l’interaction des cellules immunitaires avec les cellules cancéreuses. Ce que j’ai retenu de la maîtrise, de mon doctorat et du travail de recherche, c’est ce désir de comprendre comment les cellules immunitaires interagissent entre elles, comment elles interagissent avec d’autres cellules, et comment ces interactions s’accordent et permettent le fonctionnement des cellules immunitaires. »

Qu’est-ce qui vous a amenée à Vancouver?

« Je voulais m’éloigner un peu du cancer et comprendre le système immunitaire dans différents contextes. Je suis donc venue à Vancouver, en Colombie-Britannique, dans le laboratoire de la Dre Megan Levings, où elle travaille sur les lymphocytes T régulateurs (Treg). Je n’avais jamais travaillé sur les lymphocytes T auparavant, j’ai donc appris beaucoup de choses. C’est formidable d’avoir une nouvelle perspective sur l’immunologie et d’avoir de nouvelles idées. »

Qu’est-ce qui vous a attirée vers le diabète de type 1?

« Cette maladie a des effets tellement profonds sur la vie des patients, dès les premières années pour certains enfants. Et c’est fantastique de travailler dans un domaine où il y a tellement de potentiel de voir mes recherches engendrer des retombées cliniques, mais aussi de vraiment transformer la vie de quelqu’un dès le plus jeune âge. Je trouve très intéressant de travailler dans le domaine du diabète de type 1. C’est vraiment encourageant et motivant. »

Sur quoi comptez-vous travailler au Centre d’excellence FRDJ de l’Université de la Colombie-Britannique?

« Je travaille sur les lymphocytes T régulateurs (Treg). Notre objectif consiste à développer des Treg utilisables en thérapie cellulaire adoptive. Nous pouvons donc prendre ces Treg, qui sont un sous-ensemble de cellules T immunosuppressives, les prélever chez une personne et les développer dans notre laboratoire. L’objectif consiste ensuite à les réinjecter à un patient pour qu’ils suppriment la réponse immunitaire impliquée dans le diabète de type 1. C’est donc l’objectif général du laboratoire. Mon travail consiste à étudier le métabolisme de ces Treg sur lesquels nous travaillons et à les configurer pour qu’ils réagissent mieux dans le microenvironnement pancréatique.

Actuellement, nous comptons sur des médicaments immunomodulateurs ou immunosuppresseurs très puissants pour traiter de nombreuses maladies auto-immunes, mais ces médicaments ont un effet considérable sur le bien-être et la santé d’un patient. Le but ultime est de s’éloigner de l’utilisation de médicaments immunosuppresseurs et de pouvoir cibler la réponse impliquée dans le diabète. C’est pourquoi nous concevons des Treg pour cibler spécifiquement la réponse immunitaire qui tue les cellules bêta dans le corps. »

Quel effet la bourse FRDJ-RCS aura-t-elle sur vos recherches?

« Le financement lui-même est vraiment incroyable. Malheureusement, les recherches coûtent cher, et nous avons besoin de dons et de financement. C’est vraiment formidable que FRDJ et le RCS aient décidé d’investir spécifiquement en moi. Je pense que c’est très encourageant. Mais FRDJ et le RCS sont aussi d’énormes réseaux de chercheurs et de scientifiques de partout au pays, sur le continent et dans le monde. Chaque fois que vous commencez à rassembler des scientifiques, en particulier dans différents domaines de recherche – je suis immunologue, mais je travaille avec des biologistes spécialistes des cellules souches et avec des cliniciens –, et lorsque vous réunissez tous ces points de vue comme le fait FRDJ de manière unique, je pense qu’il y a tellement de possibilités d’apprendre et de créer ces réseaux qui soutiennent vraiment la recherche. Je pense que beaucoup des recherches les plus passionnantes proviennent de collaborations entre différents domaines. »

Qu’est-ce que vous aimeriez que plus de gens sachent sur votre domaine?

« Je pense qu’il peut être difficile de comprendre de l’extérieur à quel point la recherche est sinueuse. À quel point le parcours serpente. Ce n’est pas une ligne droite qui part d’une hypothèse, qui mène à faire des expériences et à découvrir la vérité. Vous arrivez parfois à des impasses, même si quelque chose semble très prometteur, et vous pouvez parfois trouver des choses en désaccord et vous devez comprendre pourquoi.

Et parfois, il est facile de regarder les gros titres dans les journaux et les articles qui nous donnent en quelque sorte ce sens de la réalité, [mais] cette découverte peut être surfaite ou exagérée, et cela peut alors être vraiment décourageant quand vous voyez un autre titre qui vous donne des informations contradictoires. Et ce ne sont pas les scientifiques qui prétendent que leur travail est meilleur qu’il ne l’est. Ce ne sont pas les scientifiques qui mentent sur leur travail. C’est ainsi que la science fonctionne. Elle mène parfois à des informations contradictoires, mais, en fin de compte, l’objectif de tous ceux qui travaillent en science est de découvrir la vérité. Parfois, vous reculez de quelques pas. Parfois, les scientifiques publient des informations, puis, quelques années plus tard, ils peuvent découvrir qu’il y avait un défaut et publier alors quelque chose d’éventuellement différent, et c’est tout à fait normal en science. Mais cela n’enlève rien, selon moi, à la fiabilité de la science ou à la confiance que nous pouvons accorder aux scientifiques et à la médecine. Cela fait simplement partie du processus. »

Quels ont été les défis les plus surprenants de votre recherche ou de votre carrière?

« Je pense que ce qui m’a surprise en passant de mes études de premier cycle à la recherche réelle, c’est la quantité de travail d’équipe incessant. Pendant vos études de premier cycle ou lorsque vous retournez à l’école, on vous dit “faites juste votre travail et tout ira bien; concentrez-vous sur ce que vous faites vous-même”. Mais en fait, vous entrez dans le domaine de la recherche, et c’est un travail d’équipe. Vous devez travaille ensemble. Vous devez partager vos données et vos idées, et c’est de là que viennent les meilleures recherches, c’est grâce au travail d’équipe. Avant de me lancer dans la recherche, je pense que je n’étais pas consciente à quel point la recherche repose sur le travail d’équipe. Mais cela a été un plaisir absolu de développer beaucoup de ces compétences en communication. Beaucoup de ces compétences en travail d’équipe qui sont nécessaires dans la recherche, pour faire de la bonne recherche.

Je pense que les gens imaginent les scientifiques comme des personnes solitaires, toujours seules dans leur laboratoire à faire leur travail. Et ce n’est pas cela du tout; il arrive parfois que vous soyez seul au laboratoire à minuit, mais de façon plus générale, vous ne pouvez pas travailler seul. »

Dans le même ordre d’idées, en quoi le Centre d’excellence FRDJ et ces possibilités de collaboration influent-ils sur votre travail en ce moment, sachant que vous venez dans un laboratoire de recherche sur le diabète de type 1 avec une formation en oncologie?

« J’ai beaucoup appris au cours des derniers mois. Je n’avais évidemment pas travaillé sur le diabète avant d’arriver au laboratoire de la Dre Levings, donc je continue d’apprendre sur la biologie du diabète, sur la façon dont il est traité et sur ses effets sur les patients. L’auto-immunité est presque à l’opposé du spectre du cancer à bien des égards, il a donc été difficile d’en apprendre la biologie, mais j’ai eu tellement d’aide. Il y a un énorme réseau ici, et je sais que je peux me tourner vers différentes personnes qui ont une expertise dans les domaines où j’en ai particulièrement besoin. Parce qu’en fin de compte, nous avons tous le même objectif et nous travaillons tous pour potentiellement combiner ce sur quoi nous travaillons à l’objectif final. Je travaille sur l’immunologie, d’autres travaillent sur les cellules souches, et l’objectif final consiste vraiment à combiner ces travaux à l’avenir. »

Quels sont certains des aspects que vous préférez dans votre travail de chercheur?

« Aussi simple que cela puisse paraître, ce que je préfère c’est regarder au microscope les cellules immunitaires, regarder comment elles se déplacent, comment elles interagissent, car cela montre à quel point notre corps est complexe. Si le simple fait de prélever quelques cellules de notre corps et de les regarder au microscope est à ce point intéressant et complexe, à quel point l’ensemble de notre corps est-il complexe? Je trouve donc vraiment passionnant le simple fait de peu à peu réduire cette complexité. »

Qu’est-ce qui vous intéresse ou vous passionne en dehors de vos recherches?

« J’adore faire de l’escalade en montagne et de la randonnée, et je suis heureuse à l’idée de sortir dehors. J’aime m’éloigner des affaires et ressentir vraiment l’ouverture et cette sérénité que procurent les montagnes et la nature. »  

FRDJ Canada remercie la Dre Tuomela pour le temps qu’elle nous a accordé et la félicite pour sa bourse. Nous lui souhaitons bonne chance dans son travail postdoctoral et nous transmettrons les mises à jour de la recherche dès qu’elles seront disponibles.